Dans le Calaisis, existent d’autres cimetières où reposent
des aviateurs alliés tombés au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Les communes sont soulignées
L’association « Souvenirs de pierres »
a effectué d’autres recherches dans les secteurs de Boulogne, Etaples,
Saint-Omer et Dunkerque. Plus d’un millier d’aviateurs sont répertoriés.
Une étude sur tous les aviateurs polonais tombés dans ces
régions (comme GLOWACKI à Guînes) ou dans le Détroit du Pas-de-Calais est
en cours.
Pour tout renseignement complémentaire, s’adresser à
Jacques HOCHART ou Marie BERRIER
jacqochart@orange.fr
ou
berrier.m@wanadoo.fr
ou souvenirs-de-pierres@orange.fr
Téléphone : 06 08 02 92 86
Le Lazaret de Guînes
Plusieurs aviateurs sont décédés des suites de leurs
blessures au lazaret de Guînes. En allemand, ce mot signifie « hôpital
militaire » ou « infirmerie de campagne ».
Pendant la Seconde Guerre mondiale, ce lazaret avait été
aménagé dans les locaux de l’école de la rue Debonningues, avec un
blockhaus annexe, construit entre le boulevard Blanchard et la rue du
Rempart. Ce blockhaus où les Guînois se réfugiaient en cas d’alerte à la
bombe, abritait d’importants équipements médicaux. Il est toujours visible
à l’arrière des jardins du boulevard Blanchard.
Source :
« Guînes, des origines à nos jours » par Eric BUY, Stéphane CURVEILLER et
Jacques LOUF
Le Spitfire anglais tombé à Guînes en 1940
Lorsqu’un avion tombait dans les lignes ennemies pendant la
guerre, il était soigneusement étudié : son moteur, son équipement radar,
son fuselage, etc. Quand, par chance, il était intact ou peu abîmé, il
était testé en vol et pouvait servir à la formation des élèves-pilotes.
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